En juin 2016, lors du colloque organisée par la COPIRELEM, Laurent Giauffret et moi avons animé un atelier pour présenter notre expérience autour des mathématrices.
Les formateurs, inspecteurs, enseignants… ont tous accueillis chaleureusement notre volonté de proposer un nouveau support pour promouvoir la démarche d’essais-erreurs. Certains en revanche, ont été plus dubitatifs sur un point que nous soutenions, à savoir que notre expérience se situait dans la mouvance des problèmes ouverts.
L’argument principal était qu’un problème ouvert possède des caractéristiques qui sont absentes du dispositif mathématrices : la modélisation par exemple, ou encore une relation moins transparente aux notions travaillées dans le programme.
Nous pension au contraire que s’affranchir d’un algorithme ou d’une méthode et se retrouver en position de tâtonnement était une condition suffisante pour entrer dans cette catégorie de problèmes.
La discussion reste ouverte…
Pour ceux qui voudrait aller plus loin, voici le petit texte de compte-rendu de l’atelier publié dans les actes du colloque.